Rédaction web SEO Sport

Bonjour !

Je m’appelle Clément, j’ai 35 ans et je vis actuellement à Rennes, dans l’ouest de la France. Depuis tout petit, je suis un passionné des mots. Et depuis jeune adulte, j’adore la communication et le marketing. C’est donc tout naturellement que j’ai décidé en avril 2019 de me lancer en tant que rédacteur web SEO Freelance, en travaillant de façon locale comme nationale. Spécialisé dans le sport, je traite néanmoins tous les sujets. Du marketing au secteur du voyage, en passant par le funéraire par exemple.

Pour me connaître encore un peu plus, je vous invite à lire les quelques lignes qui suivent... Ce qui vous permettra peut-être de mieux comprendre qui je suis, comment mon caractère s'est forgé et par quel biais je suis arrivé à devenir rédacteur web SEO freelance.

Clément chesne rédacteur web

Eh bien non, je n'étais pas vraiment destiné à travailler dans la rédaction web. Avec un père professeur des écoles et une mère aide-soignante, je n’avais a priori pas vraiment un destin lié à la rédaction web. Mais bon, ce serait trop facile si nos vies étaient toutes tracées.

Gamin, j’ai eu plusieurs grands rêves. Le tout premier était le sport.

J’ai débuté le tennis à 4 ans en région parisienne. Avec une belle bande de potes, notre rêve était d’aller le plus haut possible. C’est beau, l'insouciance. J’ai commencé à aimer le foot quelques années plus tard, à 8-9 ans. J’en ai fait des trous dans les haies du jardin des parents…

À l’école, j’ai toujours fait partie des premiers de ma classe. Et il y avait là les prémices d’un futur dans l’écriture. Car dès que j’ai commencé à manier un stylo, j’ai été à l’aise avec l’orthographe, la grammaire et le français en général. Bien plus que les mathématiques (la géométrie, ma phobie).

Je suis arrivé à Rennes à 12 ans, en classe de cinquième. Les ambitions sportives ont été revues à la baisse, j’ai privilégié les études et les copains. Et j’ai bien fait, car la liberté apportée par une petite ville accolée à Rennes a été l’une des meilleures choses de ma jeunesse. On enfourche son vélo pour aller faire un foot avec les copains ou aller jouer à la console chez un autre. En toute liberté et sans danger. Un véritable épanouissement.

En quatrième, c’est là que j’ai commencé à écrire. Un camarade de classe m’a présenté un jeu, Terres Divines, où j’ai fait mes premières armes dans le monde des lettres. Feu Terres Divines où l’on incarne un personnage dans un jeu, mais également dans des histoires que l’on raconte. J’étais un nain, avec toutes les dérives que représente le personnage : humour lourd, alcool, baston, vaillance et camaraderie. C’était un style d’écriture que j’aimais. TDS, j’y ai joué durant de nombreuses années, jusqu’au lycée. Au bout d’un moment, on grandit.

Je suis arrivé à Rennes à 12 ans, en classe de cinquième. Les ambitions sportives ont été revues à la baisse, j’ai privilégié les études et les copains. Et j’ai bien fait, car la liberté apportée par une petite bourgade accolée à Rennes a été l’une des meilleures choses de ma jeunesse. On enfourche son vélo pour aller faire un foot avec les copains ou aller jouer à la console chez un autre. En toute liberté et sans danger. Un véritable épanouissement.

En quatrième, c’est là que j’ai commencé à écrire. Un camarade de classe m’a présenté un jeu, Terres Divines, où j’ai fait mes premières armes dans le monde des lettres. Feu Terres Divines où l’on incarne un personnage dans un jeu, mais également dans des histoires que l’on raconte. J’étais un nain, avec toutes les dérives que représente le personnage : humour lourd, alcool, baston, vaillance et camaraderie. C’était un style d’écriture que j’aimais. TDS, j’y ai joué durant de nombreuses années, jusqu’au lycée. Au bout d’un moment, on grandit.

À la fin du lycée, on nous demande de réfléchir à notre avenir. Je voulais coupler deux de mes passions que sont l’écriture et le sport. En toute logique, je voulais alors devenir journaliste sportif. Quoi de mieux que de regarder du sport toute la journée et écrire un compte-rendu sur la vingt-huitième journée de Premier League ? (Oui, c’est un gros raccourci).

Mais on m’en a découragé, pour des raisons plus ou moins obscures. Je me suis donc dirigé vers un cursus universitaire classique afin d’affiner mon projet pro. Le fameux projet pro. Licence 1 et Licence 2 Sociologie à Rennes pour moi, où je me suis éclaté humainement, avec de formidables rencontres. Mon avenir se précise, et je veux désormais être comme mon paternel : professeur des écoles.

Licence 3 Sciences de l’éducation pour bibi, afin d’en apprendre plus sur l’école et la psychologie de l’enfant notamment. Ça me plait, grave. Désormais, il faut un Master ainsi qu’un concours pour être instit'. J’opte donc pour le Master 1 Professorat des écoles, mais énorme déception. Ambiance bizarre entre les élèves, concours pénible à passer… J’ai laissé tomber l’idée en cours d’année. Par fierté (et par mon esprit compétiteur), j’ai tout de même terminé et validé mon Master 1. Les échecs, j’en ai la phobie. Avant de mettre de côté la profession de professeur des écoles, j’ai quand même réfléchi à ma reconversion. Et si je tentais une filière sport et communication ?

Je postule alors pour un Master 1 dans l’événementiel sportif, pensant que mon expérience dans le sport ainsi que la diversité de mes études m’aideraient à être sélectionné car ce cursus est assez sélectif à l’entrée. BINGO ! Mon CV sport/socio a plu, j’ai donc été pris. Cette année-là, on nous demande de faire des stages. Stage que j’ai effectué à l’Open de Rennes de tennis, tournoi de niveau international. Je m’occupe de la communication globale (journal du tournoi, réseaux sociaux, relations presse, compte-rendus sportifs, etc.), et c’est un KIFF TOTAL. J’écris, je rencontre du monde, je vois des matchs de haut niveau. Tout ce que j’aime.

On valide le Master 1, puis on passe en Master 2 où on a un mémoire d’une centaine de pages à réaliser tout au long de l’année. Je décide de parler de foot, sport dont je m’intéresse sous toutes ses facettes : ses performances sportives, sa sociologie, son économie et son aspect psychologique. Mon sujet de mémoire est alors le suivant : L’impact de l’arrêt Bosman sur la formation des jeunes footballeurs en France. On valide, on est proche de l’insertion professionnelle.

J’ai une magnifique opportunité de travail à Strasbourg, ville que je ne connais pas. La condition ? Faire une année en alternance afin d’être embauché en CDI un an plus tard. Je reprends donc une formation dans le marketing sportif. Malheureusement, les promesses de cet emploi sont rapidement envolées. L’entreprise, où je m’occupe du marketing et de la communication, a vite fermé ses portes à cause de désaccords entre les investisseurs. On valide son année, puis on repart direction Rennes pour la famille et les copains.

Je postule alors pour un Master 1 dans l’événementiel sportif, pensant que mon expérience dans le sport ainsi que la diversité des études m’aideraient à être sélectionné. Car ce cursus est assez sélectif à l’entrée. BINGO ! Mon CV sport/socio a plu, j’ai donc été pris. Cette année-là, on nous demande de faire des stages. Stage que j’ai effectué à l’Open de Rennes de tennis, tournoi de niveau international. Je m’occupe de la communication globale (journal du tournoi, réseaux sociaux, relations presse etc.), et c’est un KIFF TOTAL. J’écris, je rencontre du monde, je vois des matchs de haut niveau. Tout ce que j’aime.

On valide le Master 1, puis on passe en Master 2 où on a un mémoire d’une centaine de pages à réaliser tout au long de l’année. Je décide de parler de foot, sport dont je m’intéresse sous toutes ses facettes : ses performances sportives, sa sociologie, son économie et son aspect psychologique. Mon sujet de mémoire est alors le suivant : L’impact de l’arrêt Bosman sur la formation des jeunes footballeurs en France. On valide, on est proche de l’insertion professionnelle.

J’ai une magnifique opportunité de travail à Strasbourg, ville que je ne connais pas. La condition ? Faire une année en alternance afin d’être embauché en CDI un an plus tard. Je reprends donc une formation dans le marketing sportif. Malheureusement, les promesses de cet emploi sont rapidement envolées. L’entreprise, où je m’occupe du marketing et de la communication, a vite fermé ses portes à cause de désaccords entre les investisseurs. On valide son année, puis on repart direction Rennes pour la famille et les copains.

De nouveau sur Rennes, je décide de m’investir dans un service civique de six mois au Comité Régional du Sport Universitaire. Le service organise de nombreux événements étudiants sur la Bretagne. Je m’occupe de la communication et l'événementiel de ces compétitions de sport. Championnats de France de Rugby à VII à Vannes, Master U BNP Paribas à Saint-Grégoire… Je continue d’apprendre et d'avoir des responsabilités. Les missions concernent aussi bien la gestion des réseaux sociaux que la mise en place d'un site web, ou encore l'organisation d'événements en lien avec les compétitions organisées (soirées à thèmes, gestion du village).

À la fin de cette magnifique expérience où j'ai pu rencontrer plein de monde dans l'univers du sport, j’ai été contacté pour être responsable communication et événementiel d’une salle de sport d’un nouveau genre : le padel. Mélange de tennis et de squash, je suis le bras droit du directeur où nous faisons tout à deux : l’accueil, la communication, le service, l’événementiel, les explications aux joueurs. Hyper formateur. En parallèle, nous avons mis en place un site e-commerce où nous commercialisons de l’équipement 100 % padel. Je maîtrise de plus en plus la rédaction web et les CMS.

En 2018, nous partons à Nantes avec ma compagne histoire de voir une autre ville. Une grande ville, dynamique en termes d’emplois et culturellement. Je passe une formation grâce à Pôle Emploi où je me spécialise totalement dans le webmarketing et le e-commerce, avec différents modules… Dont celui de la rédaction web.

Autodidacte, je lis beaucoup à côté de cette formation pour en apprendre toujours plus. Curieux de nature, j’ai une soif d’apprendre inépuisable. Je dévore donc de nombreux livres sur la rédaction web, le référencement naturel et tout ce qui gravite autour de l’écriture sur internet.

Cette formation terminée, je cherche un emploi stable durant trois mois, mais ne trouve pas. C’est là que m’est venue l’idée de me lancer en tant que freelance en rédaction web en avril 2019. Et depuis, il ne m’est arrivé que des bonnes choses. Mon activité décolle très rapidement, en à peine deux mois j’arrive à en vivre aisément.

Je suis libre, je gère mes horaires, j’écris sur tout et n’importe quoi donc ma culture générale s’étoffe énormément… Être rédacteur web freelance, à Nantes, dans une ville qui bouge de partout, c’est tout simplement une magnifique révélation.

Pour terminer, nous voilà en 2023. Année pour laquelle je reviens sur Rennes suite à la naissance de mon fils. Mais le projet pro n'a pas bougé. Seul le titre a évolué. Désormais, je suis rédacteur web freelance sport, à Rennes.

En 2018, nous partons à Nantes avec ma compagne histoire de voir une autre ville. Une grande ville, dynamique en termes d’emplois et culturellement. Je passe une formation grâce à Pôle Emploi où je me spécialise totalement dans le webmarketing et le e-commerce, avec différents modules… dont celui de la rédaction web.

Autodidacte, je lis beaucoup à côté de cette formation pour en apprendre toujours plus. Curieux de nature, j’ai une soif d’apprendre inépuisable. Je dévore donc de nombreux livres sur la rédaction web, le référencement naturel et tout ce qui gravite autour de l’écriture sur internet.

Cette formation terminée, je cherche un emploi stable durant trois mois, mais ne trouve pas. C’est là que m’est venue l’idée de me lancer en tant que freelance en rédaction web en avril 2019. Et depuis, il ne m’est arrivé que des bonnes choses. Mon activité décolle très rapidement, en à peine deux mois j’arrive à en vivre aisément.

Et maintenant, me voilà de retour sur mes terres natales, à Rennes ! Je suis libre, je gère mes horaires, j’écris sur tout et n’importe quoi donc ma culture générale s’étoffe énormément… Être rédacteur web freelance, à Rennes, dans une ville qui bouge, c’est tout simplement une magnifique révélation.

Beaucoup de choses positives ! Mon dynamisme, ma réactivité, ma plume, mon adaptabilité… Mais aussi ma grande connaissance du monde du sport (football, tennis, rugby, basket, MMA) ainsi que ma curiosité. Ma mission est claire : je souhaite aider les entreprises à se démarquer sur le web. Demander les services d’un rédacteur web SEO, c’est faire appel à un véritable expert de l’écriture. C'est à lui de prendre en charge une partie de votre communication.

Je travaille pour les plus petites entreprises comme pour les grands groupes. Aussi bien sur le contenu d’un site vitrine qu’un blog d’entreprise, ainsi que pour toutes sortes de demandes rédactionnelles. C’est l’avantage de s’intéresser à tous les sujets. Quel que soit votre secteur, n’hésitez pas à me contacter. Discuter, c’est aussi la base de nos métiers !

Toutefois, en tant que rédacteur web passionné de sport, je vous apporterai une expertise très pointue, aussi bien sur des analyses que sur des pronostics. Le sport dans son intégralité, en somme.